Message à l'Episcopat d'Africain

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LIEGE,LE 30 AOÜT 2007,

A
Monsieur le PROFESSEUR ETIENNE FLORKIN,
PRESIDENT DU C.D.H. - LIEGE.
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Objet:SEANCE DE DIALOGUE CULTUREL AFRICAIN A L'OCCASION D'UNE VISITE PASTORALE,
organisee par l'aumonerie des Etrangers à Liège:MESSAGE A L'EPISCOPAT DE L'AFRIQUE.

MONSIEUR LE PROFESSEUR,
MONSIEUR LE PRESIDENT,

Je voudrais tout d'abord vous remercier pour l'entretien télephonique d'hier et pour le rendez-
vous m'accordé pour notre entretien la semaine prochaine.
Je saisis cette occasion pour vous transmettre copie courrielle de l'exposé que je viens de faire ce matin à la séance de dialogue africain occasionné par la visite pastorale de son Excellence
Monseigneur SONGO SONGO, Archevêque de Lubumbashi (Ex Elisabethville au Katanga)au CONGO.
J'ai le plaisir de vous communiquer cet exposé (ci-après reproduit) pour votre information sur
l'actualité des ressources humaines africaines en émigration et les perspectives panafricaines au XXI°S.
Il s'agit des perspectives inscrites dans "AFRICA IN NEXT POST CONFLICTS ERA:HOPES FOR NEW GENERATIONS 2000-2030 = EN AFRIQUE DE L'EPOQUE POSTCONFLICTUELLE,QUELS SERONT LES ESPOIRS ET PROJETS POUR LES JEUNES ET NOUVELLES GENERATIONS 2000-2030 ?". Ce sont des perspectives qui seront axées sur"LE PROJET DE SOCIETE PANAFRICAINE DUXXI° SIECLE au sein du quel s'incarnera LE PROJET DE RENAISSANCE DU CONTINENT AFRICAIN EN 30/40 ANS:2010-2050".
Veuillez agréer,Monsieur le Professeur & Monsieur le Président,les assurances de ma parfaite Considération, de ma Confiaznce et de mon Estime.

RUKIRA Isidore Jean Baptiste
Editorialiste Afrique et Conseiller Projet Culturel de Formation Panafricaine I.P.A.P.

Copie pour information à:
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MADAME JOËLLE MILQUET,
PRESIDENTE DU C.D.H. - NATIONAL,
Rue des Deux Eglises,41
B-1000 BRUXELLES.
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LIEGE, le 30 AOÜT 2007.

A
Son Excellence Monseigneur
SONGO SONGO
ARCHEVËQUE DE LUBUMBASHI,
CONGO R.D.C.
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Objet:Les ressources humaines africaines en émigration et les perspectives africaines au XXI° siècle:
Message à l'Episcopat de l'Afrique concernant le Projet de Société et de Renaissabce au XXI°S.

EXCELLENCE MONSEIGNEUR,

Je voudrais tout d'abord vous présenter mes félicitations et mes hommages pour votre visite pastorale entreprise en faveur de l'écoute de vos compatriotes congolais et africains, réfugiés et résidents, en régularisation ou naturalisation, sans papiers et clandestins, précarisés et fragilisés.
En effet, pour ceux qui observons l'attitude distante et d'absence des dirigeants africains qui ont depuis toujours manifesté beaucoup de désintéressement vis-à-vis du sort des ressortissants africains à l'Etranger (notamment en Europe et partout ailleurs dans le Monde hors d'Afrique), votre geste est admirable. Il est souhaitable que les dirigeants trouvent, dans cette approche qui est la votre, un exemple d'inspiration pour tous ceux qui ont encore à coeur les valeurs de solidarité.
Quant aux dirigeants des Pays Africains, nous avons observé que rarement ils s'intéressent aux africains de l'Extérieur, qu'ils soient leurs compatriotes ou pas. Les ressortissants africains sont ignorés par les classes dirigeantes africaines qui ne se sentent en rien concernées par l'émigration africaine.
Une rare fois s'est récemment manifestée: à savoir la venue en France en octobre 2005 du Ministre Malien des Maliens à l'Etranger et de l'Intégration Africaine, pour se mettre en médiation en faveur de ses compatriotes harcelés par les autorités françaises à l'époque. Cet exemple m'a inspiré
de proposer à la Commission de l'Union Africaine d'envisager de créer en son sein un Département en charge de l'Assistance Morale et de diverses autres formes aux millions de ressortissants africains en détresse à l'Etranger, partout à l'extérieur de l'Afrique,notamment en Europe voisine de l'Afrique.
Dans le même contexte, j'ai suggéré à la Commission de l'Union Africaine d'examiner la possibilité de créer à l'avenir des Centres de récupération, haute requalification et revalorisation des milliers de talents et cerveaux, de capacités et de compétences africaines que les Gouvernements, ne sachant que faire d'eux ni comment les utiliser, ont laisser s'exiler parmi les milliers et bientôt des millions de jeunes et moins jeunes en massive émigration clandestine toutes les semaines voire tous les jours, tel que tout le monde l'observe en Méditerranée vers l'Italie ou l'Espagne et en Atlantique
vers les Canaries pour pouvoir regagner le Portugal, l'Espagne et l'Union Européenne, à la recherche
de travail et de meilleur avenir que le Continent Africain (englué dans l'embrasement de ses conflits armés d'absurde autodestruction) semble très loin de leur offrir par la voie de création d'emplois.
La récupération des talents et cerveaux africains, des capacités et compétences africaines est indispensable, car l'Afrique de demain en aura besoin pour son redressement,sa reconstruction et son développement. Ils seront utilisés par l'Union Africaine dans l'accomplissement de ses multiples missions panafricaines.Ce Capital Humain en gaspillage sera ainsi utilement investi dans le progrès du Continent Africain, notamment par l'affectation dans les diverses nouvelles Institutions Panafricaines de future génération à créer dans le cadre des dispositions du Traité de Communauté Economique,
Sociale et Culturelle Panafricaine adopté par le Sommet de l'Organisation de l'Union Africaine à Abuja au Nigéria au début de Juin 1991. Les Institutions dont il s'agit seront en charge de la future gestion
continentale et proximitale dans tous les domaines. Elles épauleront ainsi la Gouvernance Panafricaine.
En réalité la fuite des talents et cerveaux africains, des capacités et compétences africaines s'est manifestée quelques années après l'acquisition des indépendances, dès le début des années 1970.
Le constat de ce fait a généré l'inspiration de la conception de l'actuel Projet Culturel de Formation Panafricaine I.P.A.P.-Fondation Banzirabose Jean Baptiste. Cette démarche a eu lieu à l'époque des célébrations du Dixième Anniversaire de l'O.U.A.(Organisation de l'Unité Africaine) en 1973, avec le concours moral du M.E.C.(Marché Commun Européen, l'ancêtre de l'actuelle Union Européenne),
sur modèle de l'alors Projet International I.U.T.(Instituts Universitaires de Technologies).
Le Projet Culturel de Formation Panafricaine I.P.A.P.-Fondation Banzirabose Jean Baptiste a été
proposé à l'examen de l'Union Africaine en sa qualité d'héritière de l'O.U.A. Il lui a été suggéré d'envisager l'implantation de ce Projet I.P.A.P. dans 38 sites appelés à abriter dans l'ensemble du Continent Africain 38 Etablissements Panafricains I.P.A.P.-Fondation Banzirabose Jean Baptiste pour la formation culturelle, professionnelle et panafricaine d'au moins Dix Millions de cadres professionnels
et d'opérateurs stratégiques de l'Entreprise Panafricaine de Développemnt Interpanafricain.
L'approche de Projet I.P.A.P. est déjà une importante composante des perspectives meilleures en Afrique. Aussi, il serait souhaitable que toutes les forces de redressement et de reconstruction du Continent Africain puissent joindre leurs efforts pour réaliser le possible avenir d'émancipation économique et sociale et d'épanouissement humain, culturel, moral, civique, spirituel, matériel et panafricain pour chaque africain et l'ensemble des populations dans tous les Pays en Afrique future.

EXCELLENCE MONSEUIGNEUR,

Je saisis cette occasion pour exprimer l'avis que parmi les forces dont il s'agit il y a aussi celle des Eglises Chrétiennes d'Afrique et plus spécialement l'Eglise Catholique Apostolique d'Afrique. Il m'est ainsi agréable d'exposer à son intention les propos et projets contenus dans la documentation que je vous remets au titre de"AFRICA IN NEXT POST CONFLICTS ERA:HOPES FOR NEW GENERATIONS
2000-2030= EN AFRIQUE POSTCONFLICTUELLE, QUELS SERONT LES ESPOIRS ET PROJETS POUR LES JEUNES ET NOUVELLES GENERATIONS 2000-2030 ?". Les réflexions relatives à cette question thématique d'actualité (lisible dans le drame de la massive émigration clandestine d'actualité) ont été
menées par les diplomates et intellectuels africains qui opérions à Addis-Abéba (Siège des Institutions
Africaines en Ethiopie) au cours de la décennie de fin XX° siècle. Nos reflexions, destinées à ces Institutions, ont abouti (en résumé) à l'indication que le XXI° siècle devrait être marqué par les faits:
1°- la réanimation de l'Esprit, la Culture et les Principes du Panafricanisme en Afrique et à l'Etranger;
2°- la négociation d'un Plan Marshall Panafricain traductible sur le terrain en Afrique en M.I.S.E.A.
(Masses d'Investissements Sociaux et Economiques en Afrique);
3°- la reconstruction de l'Afrique dans le climat d'Unité Africaine, de Paix et de Stabilité durables;
Pour la Renaissance Panafricaine, dans le document du 15 Avril 1999 nous avons indiqué que il conviendrait d'envisager la mise en chantier d'un programme portant sur les perspectives de:
1°- la création d'un Conseil Economique et Social Panafricain pour assurer la gestion de la Paix, de la Reconstruction et du Progrès en Afrique du XXI° siècle (en fait: la Bonne Gouvernance de l'Afrique);
2°- la Promotion des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales Panafricaines aux Couleurs et à l'Essence de la Citoyenneté Interafricaine au XXI° siècle.
Nous avons souligné que ces deux approches devraient aller de pair avec notamment:
1°- l'exigence et urgence de relancer le Panafricanisme et les valeurs de l'Humanisme en Afrique;
2°- la mise en route des négociations concernant le Projet de Plan Marshall Panafricain 2000-2030.
Ces idées formulées à la veille du Sommet Annuel de l'OUA tenu à Alger en Algérie en juillet 1999, du Sommet Extraordinaire tenu à Tripoli en Libye en septembre 1999 et du Sommet Europe-
Afrique tenu au Caire en Egypte en Avril 2000, ont constitué une contribution appréciable pour la suite des événements qui attendait l'Afrique au tournant du siècle XX° pour son entrée au XXI°sècle.
Le Sommet Extraordinaire de l'O.U.A. tenu en Libye en septembre 1999 a réalisé la conception du Projet de l'Union Africaine destinée à remplacer l'Organisation de l'Unité Africaine.
Le Sommet de l'O.U.A. tenu à Lusaka en Zambie en juillet 2001 a adopté le Projet conçu en Libye en septembre 1999. Ainsi est née la Nouvelle Institution Panafricaine de l'Union Africaine, créée pour assurer en Afrique du XXI° siècle un viable processus de développement continental à l'exemple de celui réalisé en Europe de l'après deuxième guerre mondiale: au cours d'un demi siècle (1950-2007),
ou bien à l'exemple de la Chine qui a relevé le défi de son dévelopement en moins de 30 ans, après la Révolution Culturelle Chinoise et Maoiste: à savoir sur le parcours 1980-2007, ou de l'Inde actuelle.
Au cours de la période de transition entre la fin de l'O.U.A et la mise en route de la Nouvelle Institution Panafricaine (2000-2001), l'Eglise Catholique Africaine a accueilli avec espoir et ferveur les objectifs affichés qui attendaient à l'oeuvre l'Union Africaine. Les observateurs avons apprécié la remarquable disponibilité manifestée par l'Episcopat de l'Eglise Catholique Africaine à contribuer par toutes les forces chrétiennes de charité, d'entraide et de collaboration à la réalisation du bien commun au bénéfice du développement auquel aspirent toutes les populations africaines. Elle était dans le même esprit de disponibilité à coopérer à la mise en oeuvre d'un viable programme de redressement, de reconstruction et de développement du Continent que se proposait l'Union Africaine en cheminenment vers sa naissance, à savoir pendant les deux années susmentionnées.
Hélas, dès sa naissance en juillet 2001, l'Union Africaine a été confrontée à d'énormes difficultés à s'assumer pour pouvoir se mettre à l'oeuvre de réalisation des missions panafricaines que tout le monde attendait et attend d'Elle. Elle n'a pas pu relever les défis énormes auxquels est confronté le Continent Africain mal parti à l'époque des indépendances et mal outillé aujourd'hui.
Par ailleurs, l'Union Africaine est depuis sa création en difficile gestation, tel que nous le fait constater l'observateur Mwayila Tshiyembe dans son article publié par le bimensuel du Le Monde Diplomatique en son édition de février-mars 2005. En préambule, l'auteur de l'article intitulé :"Difficile gestation de l'Union Africaine" observe et se demande: "L'Union Africaine a remplacé en juillet 2001 la décevante Organisation de l'Union Africaine. Nouvelle étape dans l'histoires du Panafricanisme, l'Union saura-t-elle
relever les défis continentaux ?".
Dans mes écrits, en principe disponibles à la Commission de l'Union Africaine à Addis-Abéba
(à qui j'ai transmis plus de 25 Mille pages au cours des 7 dernières années: du 21.07.2001 à cette fin d'août 2007),je me suis employé à contribuer aux lumières de réponse à cette question de fond.
La réponse véritable est que l'Union Africaine peut et devrait s'employer à la mise en oeuvre du "PROJET DE SOCIETE PANAFRICAINE DU XXI° SIECLE incarnant en son sein le PROJET DE RENAISSANCE DU CONTINENT AFRICAIN sur le parcours des 30 à 40 années: de 2010 à 2050".
Cette approche est démontrée dans lesdits écrits à la disposition de l'Union Africaine, et plus présentement dans la brochure intitulée "L'AFRIQUE FACE A LA CONSCIENCE PANAFRICAINE DANS LE MONDE DE DEMAIN". Certains des écrits dont il s'agit pourront prochainement être consultés par tous ceux qui le souhaiteront à l'espace internet me consenti: adresse www.panafricanismerijb.be.
Ce projet internet est en cours d'élaboration; il sera prêt pour les consultations en décembre 2007.
Parmi les forces sur lesquelles l'Afrique pourra compter pour la réalisation du double Projet Global
Panafricain (Projet de Société Panafricaine couplé au Projet de Renaissance Panafricaine au XXI° S.),
il y aura certes les masses des populations africaines comptant aujourd'hui Un Milliard de personnes qui seront Deux Milliards à l'horizon de l'an 2050.Il y aura aussi l'Union Africaine et ses Institutions
Panafricaines. Il y aura de même les diverses Eglises Chrétiennes Africaines et plus particulièrement l'Eglise Chrétienne, Catholique et Apostolique d'Afrique en communion avec l'Eglise Universelle, et ce notamment au soutien de la proposition et de la perspective de création d'au moins 30 Millions d'entreprises de production de biens et de richesses en Afrique, et d'au moins 300 Millions de postes
d'emplois pour tous les africains, soit entre un et deux postes de travail en faveur de chacune des
200 Millions de familles africaines ou ménages africains de 3 à 5 membres en Afrrique de nos jours.

EXCELLENCE MONSEIGNEUR,

Je suis heureux de vous communiquer les pensées et les projets en cours d'élaboration pour la Démarche d'avenir en Afrique à moyen terme (2010-2050) et à long terme (sur le parcours de tout le XXI° siècle et au de là: en ce III° Millénaire): c.à.d.pour l'Afrique de la Nouvelle Ere du XXI° siècle.
A ce sujet sont informés, documentés et attendus (le moment venu) à l'oeuvre et rôle d'acteurs:
1°- la Présidence de la Commission de l'Union Africaine à Addis-Abéba en Ethiopie;
2°- la Présidence de la Commission de l'Union Européenne et le Commissaire Européen à la Coopération au Développement et à l'Aide Humanitaire à Bruxelles en Belgique;
3°- le Gouvernement Belge (Premier Ministre, Ministre des Affaires Etrangères, Ministre de la Coopération au Développement, Ministre de l'Intérieur) à Bruxelles;
4°- le Saint Siège de l'Eglise Chrétienne, Catholique, Apostolique et Universelle à Rome;
5°- le Parti C.D.H.: le Centre Démocrate Humaniste de Belgique;
5°- le Département des Etudes Africaines de la Faculté de Sociologie de l'Université de Liège;
6°- les O.N.G. italiennes U.C.S.E.I.(Ufficio Centrale Studenti Esteri in Italia) à Rome et le Centre Ouecuménique Saint Martin à Pérouse en Italie;
7°- la presse belge, la presse française et la presse italienne;
8°- mes correspondants dans trois Continents:Afrique, Europe et Amérique.
Je saisis la présente occasion pour vous adresser cette lettre et le document ci-joint pour l'information et la documentation de Votre EXcellence et de l'Excellence de l'EPISCOPAT AFRICAIN.
L'Afrique en effet est un Continent dont le présent et l'avenir concernent toute l'Humanité et plus particulièrement l'Eglise Chrétienne, Catholique et Apostolique d'Afrique, soit 500 Millions d'africains.

EXCELLENCE MONSEIGNEUR,

Je vous prie de bien vouloir réserver à cette communication le bénéfice de Votre Bonne Réception à toutes fins utiles pour l'Afrique et le Destin du Continent et des Populations d'Afrique.
Veuillez agréer, EXCELLENCE MONSEIGNEUR, les assurances de ma Haute Considération.

RUKIRA Isidore Jean Baptiste
Editorialiste Afrique et Conseiller Projet Culturel de Formation Panafricaine I.P.A.P.
(I.P.A.P.:Instituts Polytechniques et Universitaires d'Apprentissages des Arts et Métiers Tecnhiques
et de Formation Culturelle, Professionnelle et Panafricaine-Fondation Banzirabose Jean Baptiste:IPAP.)